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Actualité du dopage |
Marion Sicot comparaitra le 20 novembre prochain devant le tribunal correctionnel de Montargis, selon une information du Télégramme.
Elle sera jugée pour détention et importation de substances dopantes, notamment de l'EPO. Contrôlée positive à cette hormone en 2019, elle est désormais triathlète, mais cette affaire de dopage continue de la poursuivre. Sicot affirme avoir été sous l'influence de son manager de l'époque, Marc Bracke, ce qui l'aurait poussée à se doper. Suspendu par l'UCI pour harcèlement sexuel, Bracke s'est suicidé en octobre 2022.
Marion Sicot n'a reconnu qu'une seule injection d'EPO. Cependant, selon le Télégramme, une source proche du dossier affirme qu'elle avait déjà utilisé de l'EPO avant cet incident.
Un médecin et une connaissance de l'ancienne coureuse l'accompagneront dans le box des accusés.
Sur le plan sportif, elle a purgé une suspension de 4 ans. Elle s'adonne désormais au triathlon.
Cette page a été mise en ligne le 27/09/2024