Dossier dopage

Dopage mécanique : la justice française a rendu un non-lieu


30/06/2020 - Letelegramme.fr

Les enquêteurs soupçonnaient un « pacte de corruption qui aurait profité à de très grands coureurs » mais c’est un non-lieu qu’ont rendu les juges d’instruction chargés de l’enquête sur des soupçons de dopage mécanique.

Les juges d’instruction chargés de l’enquête sur des soupçons de dopage mécanique dans le cyclisme professionnel ont rendu une ordonnance de non-lieu, a appris l’AFP, ce mardi, auprès du parquet national financier, confirmant une information du quotidien sportif L’Équipe.

Cette décision a été rendue le 13 janvier par les juges qui ont estimé au terme des investigations que l’infraction n’était pas caractérisée, selon cette source. Une information judiciaire avait été ouverte par le PNF à l’été 2017. Les enquêteurs soupçonnaient alors « un pacte de corruption scellé au plus haut niveau international » qui « aurait profité à de très grands coureurs ».

Des cas avérés en 2016 et 2017

Un premier cas prouvé d’un vélo aidé par un moteur dissimulé, en janvier 2016 aux Mondiaux de cyclo-cross, avait valu à la Belge Femke Van den Driessche une suspension de six ans par l’Union cycliste internationale (UCI). En France, le premier cas avéré d’une telle fraude technologique avait été détecté lors d’une course amateur, en octobre 2017.

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Cette page a été mise en ligne le 02/07/2020