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Actualité du dopage |
La presse britannique (...) accuse le Comité International Olympique d'avoir coupé les crédits aux chercheurs (...). Il y a cinq ans, Peter Sonkssen, endocrinologue du St Thomas Hospital de Londres, réunissait une équipe de scientifiques. Commandité par le CIO, le groupe travaille à mettre au point un contrôle de l'hormone de croissance synthétique. En mars 1999, le test sanguin élaboré par Sonkssen est déclaré recevable. Reste à élargir les tests à des populations non européennes pour qu'il soit inattaquable en justice. Le CIO qui avait d'abord offert deux millions de dollars pour les dernières recherches se rétracte. Il retire ses billes du jeu et se tourne vers les laboratoires français pour élaborer le dépistage de l'EPO. Faute de crédit de recherche, le test anglais des hormones de croissance n'est pas au point pour Sydney.